solitude

"Le grand Saut qui nous Fait plonger si bas..."

Sans Inverse

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Par Mail.

Assis seul sur le bord d'un banc,

face à moi l'infini océan,

qui sépare à l'horizon ,

la terre et les constellations.



Un instant unique me rappelle comment tu brillais dans ma vie

Alors que tout cela est bien fini,

et maintenant tu es si loin de moi,

chaque soir mon cœur est un peu plus froid.



Regarde l'intérieur de ce triste tableau,

On ne voit plus à mes coté qu'un vide,

Il aurait pourtant put être si beau,

aux allures de mon cœur lui aussi vide.



Et Si on ne peut pas écrire l'amour,

on peut toujours en dessiner le contour,

je n'aurais dessiné que toi,

à l'encre de moi.



Le vent souffle et seul je marche,

Au bord de ces si belles falaises,

avec en moi toujours ce malaise,

je sent mon cœur qui s'arrache.



Il est déjà trop tard,

Mon âme se tord,

je flane comme un bâtard

Avec les même torts.



Enfin il est tard je rentre,

sous le scalpel mes veines s'éventrent

on entend les gouttes impures

de mon sang s'éclater contre les murs.



ton nom résonne à chaque battement de mon cœur,

Celui ci s'arrête pris de rencoeur,

Je suis condamné volontaire

Aux ardeurs de ton air



fidèle aux barreaux d'aciers

Et dos au mur je m'assois,

et ne pense plus qu'a toi,

j'attends que les cieux viennent me juger.